Les Anciens Canadiens
Les Anciens Canadiens
Notre premier roman Québécois
Êtes-vous curieux de voir comment cela se passait à cette époque, en Nouvelle-France ?
Rencontrez des personnages attachants et vivez leurs périodes heureuses et d'autres plus malheureuses. Vous en ressortirez enrichi.
Le dernier seigneur de Saint-Jean-Port-Joli a écrit ce roman à l'âge de 76 ans.
SOMMAIRE
PROLOGUE
INTRODUCTION
LA SORTIE DU COLLÈGE
DE LOCHEILL ET JULES D'HABERVILLE
UNE INVITATION
UNE NUIT AVEC LES SORCIERS
LE DÉFUNT PÈRE DE JOSÉ
LA CORRIVEAU
JULES ET ARCHÉ SUR LE CHEMIN DU RETOUR
DUMAIS MAL PRIS
RÉUSSIRA-T-ON À LE SAUVER ?
À LA RESCOUSSE
UN SOUPER CHEZ UN SEIGNEUR CANADIEN
UN DES TOURS DE JULES
RÉCIT DU MALADE
VERS SAINT-JEAN-PORT-JOLI
LE MANOIR D'HABERVILLE
FAIRE CONNAISSANCE
TOUT UN ACCUEIL
LA FÊTE DU MAI
CHANSON DU SEIGNEUR D'HABERVILLE
LA SAINT-JEAN-BAPTISTE
UNE VISITE À MARIE
LE BON GENTILHOMME
PÉRIODE HEUREUSE ET MALHEUREUSE
ON RACONTE
AU MANOIR D'HABERVILLE
LA LÉGENDE
INCENDIE DE LA CÔTE DU SUD
UNE NUIT AVEC LES SAUVAGES
ON NÉGOCIE
LIBÉRÉ DES INDIENS
LES PLAINES D'ABRAHAM
LA SUPÉRIEURE DE L'HOSPICE
JULES LE REÇOIT À L'HOPITAL
L'APRÈS-GUERRE
UN INCONNU
LE NAUFRAGE DE « L'AUGUSTE »
APRÈS SEPT ANS DE PRIVATION
RENCONTRE INATTENDUE
ARCHÉ APPORTE LES LETTRES DE JULES
IL REVOIT TOUT SON MONDE
LES FORFAITS DE JULES
ARCHÉ DÉCLARE SON AMOUR
VERS QUÉBEC
LE FOYER DOMESTIQUE
PETITE FÊTE CHEZ LES D'HABERVILLE
ARCHÉ EN RETARD
ON CHANTE
JULES VEUT SAVOIR
LES NOIRES VAPEURS D'ARCHÉ
IL S'ENTRETIENT AVEC SA SOEUR
LA FERME DES DUMAIS
LA MORT DU GENTILHOMME
JULES ÉPOUSE UNE ANGLAISE
JOSÉ, CE FIDÈLE SERVITEUR
LE NOTAIRE
CONCLUSION
MOT DE LA FIN
DES LIVRES CAPTIVANTS
PROLOGUE
M. Philippe Aubert de Gaspé, l’auteur de ce très beau roman, est né à Québec le 30 octobre 1786 et mort au même endroit le 29 janvier 1871. Il a été le dernier seigneur de Saint-Jean-Port-Joli.
Notre premier romancier québécois a écrit notre premier roman québécois : Les Anciens Canadiens, que je vous présente ici.
Cette oeuvre a eu beaucoup de succès puisque l’on compte une trentaine de retirages. Elle fut traduite en anglais, en espagnol et fut portée à la scène1.
M. de Gaspé a eu un de ses fils qui a porté le même nom que lui, Philippe-Ignace-François Aubert de Gaspé, et qui est né en1814. Il a été journaliste à The Quebec Mercury et Le Canadien. Il est l’auteur du premier roman canadien français publié au Canada : L’influence d’un livre publié en 1837 dans le journal Le Populaire. Il meurt à Halifax en 1841 à l’âge de 26 ans.
Je ne vous présente ici que le roman complet de Philippe Aubert de Gaspé (père), le dernier seigneur de Saint-Jean-Port-Joli. Je n’ai pas inclus les 100 pages supplémentaires de notes à propos des différents chapitres.
M. de Gaspé a fait ses études au petit Séminaire de Québec de 1798 à 1806. Il devient avocat en 1811. Il était un grand conteur. Il a exercé plusieurs métiers, dont avocat, lieutenant de milice et shérif. Il a dû faire de la prison, trahi par ses amis, pour un manque de fonds.
Le seigneur de Saint-Jean-Port-Joli a donc connu des moments difficiles avant de pouvoir retourner s’installer dans son manoir.
Vous allez d’abord trouver ce qui a amené M. de Gaspé à écrire un roman à l’âge de 76 ans. Un récit intéressant qui nous permet de mieux comprendre l’homme, son caractère et les moeurs de cette époque.
Vous allez revivre certains épisodes de la conquête de la Nouvelle Angleterre sur la Nouvelle France, qui avait eu lieu quelque trente ans avant sa naissance, donc toujours présente dans l’esprit de ces Anciens Canadiens.
Note à propos de la couverture : Gravure du Château Saint-Louis à Québec (1620-1834) et les habitants de la Nouvelle France en 1780.
INTRODUCTION
Ce chapitre peut, sans inconvénient, servir, en partie, de préface ; car je n’ai nullement l’intention de composer un ouvrage secundum artem ; encore moins de me poser en auteur classique.
Ceux qui me connaissent seront, sans doute, surpris de me voir commencer le métier d’auteur à 76 ans. Je leur dois une explication. Quoique fatigué de toujours lire, à mon âge, sans grand profit, ni pour moi, ni pour autrui, je n’osais cependant passer le Rubicon ; un incident assez trivial m’a décidé.
...
Mots clés : Philippe Aubert de Gaspé, Notre premier roman Québécois, Saint-Jean-Port-Joli, St-Jean-Port-Joli, manoir de la seigneuriie, Les anciens Canadiens
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